Éric Verhaeghe est un haut fonctionnaire, essayiste, journaliste économique et conférencier,
ex-président de l'Association pour l'emploi des cadres (APEC) de 2009 à 2011.
Il analyse le processus de stigmatisation génocidaire en cours, orchestré par les gouvernements et les médias.
La solution qu'il préconise pour éviter le pire est de sortir de l'invisibilité dans laquelle nous enferment les médias pour pratiquer le "shaming": interpeller en masse tous les propagandistes, médias, journalistes, soignants, enseignants, élus, artistes pour les mettre face à leurs responsabilités individuelles.
La démacronisation de la population est en cours, la dernière intervention a fait sa plus petite audience (3,8 Millions), alors que le Doctothon a comptabilisé 12 Millions de connexions, sans relais médiatique!
Et sans compter les visionnages en différé...
La réalité est que la grosse majorité des Français, vax ou non, ne veut pas de la vaccination obligatoire: 86% dans le sondage Le Point!!!
Exemple de shaming réussi: les concerts de Bruel annulés après ses propos stigmatisant les non vaccinés!
Les artistes ne peuvent pas se passer de 84% de leur public: mettons-leur la pression en les interpellant massivement pour qu'ils arrêtent de jouer sous pass et sortent de leur silence complice! Pour se racheter de leurs 6 mois de collaboration ségrégationniste, poussons-les à faire des actions/spectacles au profit des soignants et pompiers indignement suspendus!
Autre exemple de shaming: interpellons nos maires et élus lors des Conseils Municipaux! Ils ne peuvent plus être complices de ce génocide organisé sur leur commune.
L'article 212 du code pénal précise que tous les auteurs/propagandistes/organisateurs encourent la réclusion criminelle à perpétuité.
A décliner dans les pharmacies qui vaccinent et vendent des masques FFP2 toxiques, les cabinets de médecins vaccinateurs pour leur demander de respecter leur serment d'Hippocrate du "Primum non nocere", les directeurs d'établissement et enseignants qui testent, obligent à porter un masque et participent ainsi à la torture de nos enfants, contre les syndicats inter-professionnels qui n'ont rien fait jusqu'ici alors que la population attend depuis cet été un appel à la grève générale pour stopper cette ignominie et rétablir nos droits fondamentaux...
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